Depuis 2001 je sillonne les routes d’Afrique avec une enthousiasme éternelle. Je pourrais dire que je connais bien les problèmes du continent. En tant que personne amoureuse de l’Afrique, je me sens obligée de contribuer : d’abord en tant que bénévole, puis en tant que membre fondateur de L’Afrique Autrement. Je pense que la fourniture d’aides n’est pas le meilleur moyen pour parvenir au développement. Il ne peut être atteint que par une éducation qui permet aux gens de trouver leur bonheur, leur futur et de vivre dans leur propre pays.